Au travers de son carnet de jeune fille, l’auteur appartenant à la haute bourgeoisie et comptant parmi ses souvenirs d’enfance François Jacob ou Jacques Monnod, nous relate sa débâcle. De Paris XVIe, qu’elle quitte en 1939 pour rejoindre en 1940 les USA, à Stockholm, où son mari reçoit le Prix Nobel, tout nous est compté sur une intimité d’une classe trop souvent cachée.

L’Odyssée d’une jeune fille de bonne famille
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