L’auteur nous parle des problèmes qui se passaient en Tunisie avant l’indépendance et où il créa l’université de Tunis avant de rentrer en France comme professeur à l’École des Hautes Études en sciences sociales. Il nous parle aussi de sa conversion au catholicisme et de la vie dans l’Auxerrois. Comme l’écrit Robert Solé : « Dans cent ans, les pauvres historiens auront bien du mal à cerner notre époque ! Où donneront-ils de la tête ? Comment choisiront-ils entre cette multitude de documents — imprimés, enregistrés, filmés, microfilmés — que nous produisons à longueur de semaine ? Peut-être devrait-on déjà sélectionner, à leur intention, quelques œuvres plus précieuses que d’autres, parce que plus précises, plus riches, ou simplement plus authentiques. Ces petits joyaux ne sont pas forcément des documents à grand tirage. Il faut parfois aller les chercher très loin du tintamarre médiatique. » Le Monde, 1er janvier 1994.






![Edmond FlegAvant_Dreyfus_V8_Couv_22297[1] Edmond Fleg en héritage](https://editionstiresias.com/wp-content/uploads/2023/04/Edmond-FlegAvant_Dreyfus_V8_Couv_222971-scaled-300x450.jpg)
