Logo des Éditions Tirésias

Une seule pensée : Liberté

Une seule pensée : Liberté

Anthologie de poèmes de prisonniers de la Grande Guerre
Auteur·rice :

22,00 

Nombreuses illustrations

22,00 

nombreux documents inédits
nombreuses photos
16 x 24
2-915 293-09-0
Date de parution :

Cette anthologie recueille une pléiade de poèmes écrits entre 1914 et 1918 dans les camps de prisonniers de guerre, souvent ce sont des poètes de l’instant faisant acte de rythmeur, ou plus encore essayant de recopier l’idéal du poème, appris par cœur en classe, par le cher instituteur. Ils viennent aux poèmes soit pour chasser l’ennui, soit pour marquer leur tristesse, soit pour évacuer leur mélancolie, ou appeler leur maman ou plus encore ils fuient vers un lieu plus supportable pour affronter leur quotidien. Ils se fabriquent un monde imaginairement beau sans douleur et sans violence, peint de souvenirs d’enfance, et de leur terre aimante.

L’auteur de cette anthologie considère que ce travail est une entre parenthèses du constat sur la modernité fait par le philosophe poète qui affirme et parle de l’âge du poète, pour lui et au travers ces poèmes de prisonniers de guerre, on ne peut que parler et affirmer que naît ainsi sous nos yeux : l’âge du poème.

Ces textes font office et acte de témoignages. Malheureusement nous savons si peu sur cette période et particulièrement du vécu de ces anciens poilus revenant de la tranchée et subissant avec culpabilité d’une part d’être vivant et d’autre part loin du champ d’honneur.

Cette guerre dite grande est perçue d’une façon très particulière par celui qui la vit avec bravoure et horreur, et surtout ceux qui y participent se sentent porteurs d’une mission d’Honneur. Cette œuvre n’a pas une volonté de démontrer ou de mettre en avant seulement une quelconque valeur littéraire de ces poèmes, bien au contraire l’auteur cherche à lever le voile sur la partie la plus cachée, la plus intime, la plus blessée, la plus exactement vraie de ces prisonniers, entre la douleur fraternité et l’amour qu’il a rencontrés dans la manne de ces poèmes.

Il vous convie au commencement du verbe et vous demande comme le fit Hölderling dans Fête de la paix : « Veuillez, je vous prie, ne lire ces feuilles (ces poèmes) qu’avec bonté. Je suis sûr qu’ainsi elles ne seront pas incompréhensibles, et encore moins choquantes… »

Avis

Il n’y a pas encore d’avis.

Soyez le premier à laisser votre avis sur “Une seule pensée : Liberté”

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *